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Mam'zelle bUlle...cOmme un {° FunÂm'BuLLe °} qui rêveraiT de s'env0leR...

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Mam'zelle bUlle...cOmme un {° FunÂm'BuLLe °} qui rêveraiT de s'env0leR...
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3 septembre 2006

Ces chansons qui vous obsèdent.

Attente

Oh Angie, Angie, when will those dark clouds disappear
Angie, Angie, where will it lead us from here
With no loving in our souls and no money in our coats
You can't say we're satisfied
But Angie, Angie, you can't say we never tried

Angie, you're beautiful, but ain't it time we said goodbye
Angie, I still love you, remember all those nights we cried
All the dreams we held so close seemed to all go up in smoke
Let me whisper in your ear
Angie, Angie, where will it lead us from here
Oh, Angie, don't you weep, all your kisses still taste sweet
I hate that sadness in your eyes
But Angie, Angie, ain't it time we said good-bye

With no loving in our souls and no money in our coats
You can't say we're satisfied
But Angie, I still love you, Baby, ev'rywhere I look I see your eyes
There ain't a woman that comes close to you come on baby, dry your eyes


But Angie, Angie, ain't it good to be alive
Angie, Angie, they can't say we never tried

Si quelqu'un OSE demander de qui est cette chanson, je le tue avec une machette, lui coupe la tête et la donne à bouffer à mon chat.

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2 septembre 2006

Perfectly disturbed.

HISMASK

Je veux me noyer dans une piscine de champagne, vodka et martini.


Je veux me pendre avec un épais rouleau de réglisse noire.

Je veux jouer 'accidentellement' avec un flingue de pint-ball.

Je veux à nouveau jouer à être un avion puis chuter jusqu’à mon ultime aéroport, la mort.

Je veux crayonner le carrelage de rouge et en jouant avec un ciseau, me couper, que plus rien ne bouge.

Je veux avaler des Smarties rouges, bleus et jaunes, puis m’endormir en une éternelle sieste près de la flore, de la faune.

Je veux fumer des centaines de calumets de paix avec les Indiens, et puis sans prévenir, mourir soudain.

Je veux rentrer chez moi assoiffée et boire le verre d’Ice Tea que me tend un ami, et puis sous le poison, que tout soit fini.

You see, there’s a million childish ways to die.

Yes, I’m perfectly disturbed.

So what ?

Get over it.

2 septembre 2006

†..:[ Laisse-moi t'emmener ]:..†

wish 

"Là ou tu n'es pas je n'existe plus"

[Marc Lévy]

" Laisse-moi t'emmener dans mon monde, j'y guiderai chacun de tes pas, j'apprendrai tes réveils, j'inventerai tes nuits, je resterai près de toi. J'effacerai tous les destins tracés, recoudrai toutes tes blessures. Tes jours de colère, je lierai tes mains dans ton dos pour que tu ne te fasses plus mal, je collerai ma bouche à la tienne pour étouffer tes cris et rien ne sera plus jamais pareil, et si tu es seul nous serons seuls à deux".

[Marc Lévy]

2 septembre 2006

†..:[ Idées nOires & f0lies d£structives ]:..†

Enter_my_grave

On a ouvert le c0ffre
Celui aux idée$ nOires
Mes rêv£s et f0lies avec lui j'ai partagé
Mais aujourd'hui, je sais que je n'aurais pas dû
Désormais tout s'est perdu
A nouveau seule, je dois rec0mmencer
Revivre à travers le mirOir
Réinventer mon histoire...

 

Idées noires. Pensées 0bscµres. Désirs parfumés. Folie destructive.

Come in my miNd, ent£r my grave, where all the fAntasies you've always kn£w c0me trUe...

2 septembre 2006

Ap0calYpse de...

Destiny

..:[Nouveaux poèmes. Eh oui, en relisant mes précédents articles, j'ai réalisé après la nuit passée qu'ils ne me plaisaient pas. Résultat: d'autres poèmes écrits ce matin.]:...


La FAIM et la FOLIE
Tes yeux...Pour moi, sont la source
du désir, de la faute, de la livraison, de la soumission...
Des fois nous regardons avec le désir extrême d'être les victimes de
nos propres peurs et de nos plaisirs.
Plaisirs sans fin, sans propriétaire et sans remords.
En se livrant corps et âme
En sentant et en implorant
S’il t’est difficile de te livrer
Alors rends-toi...

Apocalypse De Toi

Apocalypse de Moi

Apocalypse De Nous

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2 septembre 2006

Espoir.

Petite_f_e

Il est très tard, plus de trois heures du matin à l’heure où j’écris ces lignes, mais tu me connais, j’ai rarement agi par préméditation. Plutôt en suivant mes envies, mes instincts. Et ça fait bien quelques nuits que, de toutes façons, je ne dors plus.

                           
Et j’avais envie de noter les pensées qui ont traversé ma tête ce soir.

Je pressens que pour moi, il y aura encore des moments obscurs, où tu me manqueras à en mourir. Je sais d’expérience que je n’ai pas encore fini de souffrir de cette séparation.

Mais ce soir, j’ai réalisé quelque chose, et ce quelque chose a fait naître, pour la première fois depuis quelques jours maintenant, une joie sincère dans mon cœur, et un vrai sourire sur mes lèvres.

Et ce quelque chose qui m’a envahie, aussi incroyable que cela puisse paraître, n’est rien d’autre qu’un espoir.

       Ces quelques lignes ne veulent pas dire que j’ai cessé d’éprouver tout ce que tu sais pour toi.
Bien au contraire, ton absence continue de me peser cruellement. Mon cœur s’écorche quand je contemple ton visage sur une photo, ton ‘cadeau’ sur ma table de chevet, une épingle sur l’un de mes vêtements. Des petits détails stupides, mais qui n’en demeurent pas moins des souvenirs de toi. Tes sourires, ton rire, ta main qui serrait la mienne, ton cœur qui battait si fort contre le mien, tes bras qui m’enlaçaient et entre lesquels je me sentais protégée, tes yeux qui me faisaient me sentir la plus comblée sur la terre, me manquent toujours, abominablement. Je ne peux certainement pas t’oublier ou cesser de t’aimer. Pas pour l’instant.

Non, ce message signifie plutôt que, enfin, ma peine commence à se faire moins lourde à traîner. Je crois qu’elle pourrait revenir intacte dès le lendemain et mon espoir se dissoudre passée la nuit, mais au moins j’aurais eu dans le cœur cet espoir qui un bref instant l’a allégée.
Quelque chose de tout simple, un peu stupide, mais qui m’a redonné la force d’y croire encore, en l’espoir.

                                               Celui de te revoir.

Parce que je sais que quoi qu’il advienne, je te reverrai. J’ai ce pressentiment, qui me dit que nous n’avons pas encore fini de nous rencontrer. A croire que peut-être, les chemins de deux écorchés vifs demeurent liés par-delà certains obstacles. En tous cas, j’aurai toujours plaisir à recroiser ta route, que cela soit en ami ou en amant, parce que tu fais pour moi partie de ces personnes précieuses que je refuse de perdre, quoi qu’il puisse arriver. Bien sûr que nous n’aurons jamais plus le même regard sur l’autre, et même si tout n'est jamais qu'éphémère, je ne crois pas que nous soyons de ces êtres dont les chemins se rencontrent pour ne plus jamais se retrouver, pour qu’ils s’ignorent dans la rue.

Alors voilà, ceci était pour moi ce soir
Simplement, mon texte d’espoir
Pour certains stupide, ou simplement dérisoire
Il contient ma nouvelle raison de croire
En la force de lien des écorchés vifs
Et c’est pourquoi je crois, j’aimerais bien
Malgré ce
chagrin incisif
Ne serait-ce qu’un jour, un lendemain
Te revoir
Et pourquoi pas,
réécrire ensemble une nouvelle histoire...

1 septembre 2006

Je n'en peux plus.

Broken_wings

Oh, assez de faux-semblants...

                                                    Je n'en peux plus.

                       Je n'en peux plus de ces éternelles interrogations.

Je n'en peux plus de cette absence qui me pèse, trop lourde.

                     De ces échanges muets qui ne nous mènent qu'à d'autres questions silencieuses.

Je n'en peux plus des nuits blanches passées à chercher encore et toujours une solution, un remède qui ne vient pas.

                              Mais dites-moi ce que je peux faire d'autre, bordel ?!

£t s'il te plaît Marlène, ne me dis pas encore une fois que je devrais lui parler. Tu sais très bien ce que je vais te répondre. Que je ne le peux pas.

Ou plutôt si, je le peux. Je le voudrais même, mais qu'est-ce que je pourrais bien lui dire ?

                                  Qu'il me manque à mourir.

Que chaque nuit, ce sont les mêmes interrogations. Les mêmes souvenirs qui me hantent. La même insomnie qui me tourmente. Que j'essaye, vraiment, de toutes mes forces, mais que je n'en peux plus de lutter en vain...

                             Que ça fait trop mal.

                   J'ai essayé d'oublier, de me distraire, de penser à autre chose.

               Mais chaque nuit c'est le même dilemne qui revient, toujours semblable.
                                             Toujours insoluble.

                       La fuite a-t-elle arrangé quoi que ce soit pour toi ?

                                        Et dis-moi un peu à quoi ça nous mène,
de se tourner désespérément le dos quand on en crèverait, de l'envie de se retourner l'un vers l'autre...

1 septembre 2006

~°..ma Lenita..*~

                                                                        

To_my_Lenita

                                                                Bon.

    Encore un article pour ma seule et unique véritable idole en ce monde bien bas.
         Vous la connaissez tous à force de lire mon blog ainsi que ses commentaires.

                                                Marlènita.
                                                    Evidemment.

Je ne vais pas réécrire tout ce que j'ai déjà écrit sur elle. Il y aurait tellement de choses à dire, et bien d'autres qui ne peuvent être dites comme ça, par écrit.

Si ce n'est encore et toujours que j'lui dois un grand MERCI. Pour tout ce qu'elle fait. Pour tout ce qu'elle est. Pour tout ce qu'elle ne fait pas. Pour tout ce qu'elle n'est pas. Pour tout ce qu'elle dit, ne dit pas.

Pour me soutenir encore et toujours, contre tous les obstacles, contre tout ce qui me cause de la peine. Elle est toujours là. Et ça, c'est quelque chose dont peu de personnes parmi mes proches peuvent se vanter.

Et puis qu'elle est l'une des rares personnes à ne m'avoir jamais rendue triste. La seule ? Je ne sais pas. Peut-être bien. L'unique personne à ne m'avoir jamais déçue, jamais trompée, jamais menti.

                                        Pour tout ça, merci.

                        Et puis parce que, cette semaine, elle est privée d'ordi.   

La semaine de ma rentrée. Dans trois jours. Génial. C'est pas possible, il y a quelqu'un qui doit m'en vouloir là-haut. Même si je ne suis pas croyante, il doit y avoir un bugg, un accroc dans mon karma. =__=

Ca ne vous surprendra pas, mais je n'ai pas du tout, mais alors, pas DU TOUT, envie de retourner au bahut. Il faut dire que je n'aborde pas vraiment l'année à venir comme il faudrait. Trop de choses dans la tête. Pas remise des derniers évènements. Et puis surtout, la peur de me sentir seule, au lycée. De me retrouver dans la même classe que la tique [oh pitié, non, pas ça, s'il vous plaît...x___X]. De me retrouver avec des filles que je n'aimerai pas.

                                    
Liste de choses à faire en arrivant au bahut:

                       +. repérer les intolérantes et les fouteuses-de-pied-dans-le-plat, les éviter
                                            +. chercher les têtes connues
                            +. repérer la future éventuelle meilleure amie + les personnes intéressantes.

                                                    Choses à ne pas faire:

                  +. profiter de la privation d'ordi de Lenita pour me couper, boire ou tomber en dépression
       
           +. déprimer (j'y crois pas, mais dans la mesure du possible, essayons d'aborder l'année à venir comme quelque chose d'intéressant)

Trucs pOsitifs > ça devrait me changer un peu les idées. [je ne dis pas ça sérieusement, c'est dommage]. Mais aussi...le retour des lettres à Lenita. Ca, c'est vrai, ça me manquait. Ecriture, ma seule confidente.

Trucs négatifs > tous(tes) les stupides copains(ines) qui me demanderont a) comment je vais b) si j'ai passé de bonnes vacances c) si je suis toujours...pour ceux qui ne seraient pas au courant.

                                           Bordel, quelle plaie.
                      Quelqu'un aurait un flingue ?
 

31 août 2006

†..:[J'aurai cru]:..†

Ailes_bris_es

†. C'est plein de petits riens perdus, qui finissent par faire un trop gros tout absent..†

C’est une oreille attentive à tes problèmes, qui te comprend sans te juger...
 
             une personne toujours présente, qui te connaît par cœur,
                                               avec laquelle tu n’as plus besoin de mots.

C’est un corps contre le tien, qui te prête sa chaleur, contre lequel te blottir.

             C’est un complexe mélange de sentiments de sécurité, de passiOn
                                    et d’apaisement qui t’agitent.

             C’est un calme et un bonheur profonds qui t’envahissent
                                          quand tu te serres contre cette personne, en silence.

C’est un cœur qui bat fort contre le tien, au même instant.

                   †..:Ce sont toutes ces choses et ces instants perdus qui me manquent à présent:..†

Les jours passent et s’éternisent, semblables uns aux autres. La présence des amis autour ne suffit pas, ne change rien au fait que...

                                  †...je n’y arrive toujours pas. †

    J’aurais cru que j'allais oublier vite.

         Que, prolongée, l’absence finirait par être une forme de solution, de remède.
                                             
                Par interrompre le flot de mes sentiments...
   
                     de ma souffrance...
                        
                                       de toutes ces interrogations...

                        Mais il n’en est rien...

                          je ne m'en sens que davantage écartelée...

                           Mon cœur douloureusement ne bat plus au rythme du tien.
                            Mes souvenirs ne trouvent plus qu’un écho vide
                                  Mon âme appelle la tienne,
   
                jusqu’à mon corps qui me fait souffrir et réclame le tien...

On dirait que tout l'être s'allie contre l'esprit pour protester, me punir.

Mais dites-moi seulement à quoi ça sert d'écrire tout ça, à part à me tromper le coeur en tentant de le vider quelque part...

                 Quel chemin choisir, quand on n’est que de misérables écorchés vifs...

..*..

On_se_demande_parfois

30 août 2006

~° J'ai demandé *

Silence_under_the_moon

J’ai demandé à la lune...
                                    Je lui ai montré mes écorchures

Mais la lune s’est foutue de moi
                                              Et comme le ciel n’avait pas fière allure

Et que ça ne me passe pas
                                          Je me dis quelle infortune
                                                                                Et la lune se fout de moi...

J’ai demandé à la lune
                                                         s
i..
Elle m’a dit "j’ai pas l’habitude
                                         De m’occuper des cas comme toi..."

J'aurai encore tellement et si peu de choses à te dire
                                                           Et pas grand chose pour te faire sourire
A croire qu'on imagine toujours le pire
                                                   Et que le meilleur nous fait souffrir...

Paroles adaptées d'Indochine.

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