Il fallait choisir une route, alors...
Dans le faux, dans le vrai
Dans le brut, dans l’abstrait,
Tu m’as laissée...à la lisière des rêves...
M’éteindre loin de tes lèvres...
Tout
le mal qu’on s’est fait
Et les coups de nos
mots
Qui transperçaient nos plaies
Ce silence et ces nuits
Qui ont fait pleurer mon âme...
Et la mélancolie, dis-moi quand c’est fini...
Les sentiments, les vents qui me repoussent et m’attirent
Quand mon cœur ne ressent
que l’envie d’en finir
Tu as choisi ce chemin...
Je t’attendais
L’espoir
n’est jamais éternel
Et mon dieu que la nuit est belle
Sur notre peine perdue...
Et il y a ton sourire au goût amer
C'est comme une lueur d'espoir
Il y a l'ombre et la lumière
Au
milieu notre trajectoire
Il fallait choisir une route
Alors on a choisi la pluie
Acide à s'en
brûler le coeur
Pourvu que planent les esprits...
Il y a tes yeux qui me tuent
Quand tu me dis que c'est fini
Il y a le vent de nos sanglots
Qui souffle pour une amnistie
Mais rien n'arrêtera ma lutte
Rien ne séchera cette pluie
Rien ne finira la chute
Rien ne finit l'in-fini...
Rien ne desserrera nos mains
Rien n'éteindra l'éphémère
Nos forces seront, nos forces seront nos destins
et puis nous percerons les mystères
Il y a les lois de l'empire
Et les trous noirs dans ma mémoire
Il y a le meilleur et puis le pire
Au milieu d’autres trajectoires
Combien je paye ta fierté
Dis, combien tu vends ma poésie
Moi j'aurai vendu mon âme au diable...pour ton sourire...
J'aurais aimé t'aimer
Comme on aime le soleil
Te dire que le monde est beau
Que c'est beau d'aimer
J'aurais aimé
t'écrire
Le plus beau des poèmes
Et construire un empire
Juste pour ton sourire...
Devenir le soleil
Pour sécher tes sanglots
Et faire battre le ciel
Pour un futur plus beau
Mais c'est plus fort que toi
Tu dis que tu n’y peux rien
Mon monde n’est plus pour toi
Mais mon cOeur restera tien...
Puisque tout est aléatoire dans le chaos des univers
Et puisqu’insoluble est la réponse puisque déjà me manque l'air
Mais qu'importent les directions jusqu'au delà de la limite
Tous les chemins mènent à tes yeux
Tous les
chemins mènent à ta fuite...
Il y a tes yeux qui me tuent
Quand tu me dis que c'est fini
Il y a le vent de mes sanglots
Qui soufflera vers l'infini...
Mais rien ne desserre mes mains
Rien n'éteindra l'éphémère
Nous forcerons nos destins
Nous percerons les mystères
Rien ne desserrera mes poings
L'univers,
l'univers... nous retrouverons nos chemins
Nos idées, puis l'univers
Au revoir mon ami
Au revoir mon frère d’âme
Au
revoir mon amant
A nous deux ténèbres
Au revoir, mon ami
Au revoir mon frère d’âme
Au revoir mon am0ur
A nous deux, destin
Au revoir mon amOur
Au revoir mon ange
Au revoir, mon coeur..
A nous deux, futur...
Il y avait ton s0urire au goût amer
C’était comme une lu£ur d’espoir
Il y avait l'0mbre et la lµmière
Au milieu notre
trajectoire...
Il fallait choisir une route
Alors t’as choisi les pluies
Acides à
s'en brûler le coeur
Pourvu que
planent n0s esprits...